Chronique: La couleur des sentiments – Kathryn Stockett

Bonjour à tous,

Je vous retrouve pour une nouvelle chronique pour un livre coup de coeur de tous les temps, je l’ai adoré et je l’ai dévoré il y a de cela quelques années maintenant, et dès que je termine un livre j’ai l’irrésistible envie de le relire encore une fois. Il s’agit du livre « La Couleur des Sentiments » de Kathryn Stockett, sur ce, je vous laisse avec la suite de cette chronique.

Editions: Actes Sud

Date de sortie: 01 septembre 2010

Nombre de pages: 599

Prix: 9,70€

Thèmes: Ségrégation raciale, Racisme, Année 60, Adapté au cinéma, Amitié impossible, Littérature Américaine.

Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noirs qui font le ménage, la cuisine, et qui s’occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorités. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L’insolante Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s’enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s’exiler dans un autre Etat, comme Constantine, qu’on n’a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l’ont congédiée.

Mais Skeeter, la fille des Phelan, n’est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s’acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l’a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même lui laisser un mot.

La jeune bourgeoise blanche et les deux bonnes noires, poussées par une sourde envie de changer les choses malgré la peur, vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.

Je vais être honnête, j’ai d’abord vu le film avant de lire le livre, j’avais déjà eu un coup de coeur énorme pour le film et dès que j’ai vu que l’histoire était tirée d’un livre je me suis ruée dessus. Je l’ai adoré et je ne suis pas la seule ma maman l’a lu aussi et pour finir je lui ai également offert le livre car elle l’avait adoré aussi. Quand on lit l’histoire en elle-même c’est vrai que je trouve ça choquant qu’en 1962 (année qui n’est pas si loin que ça) dans des petits états des Etats-Unis il y a encore de l’esclavage des noirs, pour une fois on a le point de vue des bonnes, ce qu’elles pensent et ce qu’elles ressentent, je trouve ça triste qu’elles doivent vivre dans la peur d’être tué et qu’elles doivent rentrer chez elle en courant pour ne pas se faire prendre dans leurs quartiers chauds, car elles ne peuvent pas se permettre d’autres quartiers malheureusement. J’aime bien découvrir différentes histoires et différents vécus et surtout quand on découvre ce qu’il c’est passé avec Constantine, je trouve ça très triste. Heureusement qu’il y avait des gens comme Skeeter à l’époque pour les écouter et essayer de faire entendre leurs voix. Je vous conseille vraiment ce bouquin a 100%.

MA NOTE: 5/5